jeudi 19 mai 2011

« An exit to eternal summer slacking »...

Pas que je sois nostalgique. Je ne fais tout simplement pas la distinction entre le passé, le futur, le présent. Pour preuve, j'ai placé — dans cette brève énumération qui englobe toute une vie — le futur avant le présent, héhé... Blague à part,  un joli souvenir, cette chanson. Sans me prendre dans une toile d'araignée temporelle, je suis très près de mes souvenirs (tout comme je chéris mes rêves). Or quand est-ce qu'une belle expérience n'est plus que remembrance ? Car lorsqu'elle est si facilement accessible dans notre tête, lorsqu'on n'a pas à l'extirper d'une brume dense d'idées comme on sauverait quelqu'un de la noyade, peut-on vraiment parler d'une autre époque ? Et si j'avais de très grands bras me permettant de caresser le passé et de serrer la main de l'avenir ?

D'ailleurs, n'y chante-t-on pas, dans ce qui suit, « They'll never get old and gray » ? Telle serait la gloire, vieillir sans vieillir.



Comme le dit l'un des derniers types ayant laissé un commentaire sous cette vidéo, sur Youtube, « [les rares gens] qui n'aiment pas la vidéo sont nés après l'année 2000 »

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