lundi 5 novembre 2012

À ceux qui se poseraient des questions sur moi



21 commentaires:

  1. Je viens d'assister à une conférence de l'Upop où il en était entre autres question. Y a-t-il un concept en particulier chez Laborit que tu apprécies ? Le tissage d'idées qu'il fait est brillant.

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  2. Je ne connais pas ce bouquin, et j’ai entendu parler de Laborit à travers les branches (à l'émission Par 4 Chemin entre autres), mais je suis pas mal certain que ça ne traite pas d’un problème de plomberie ou d’incontinence.

    Remarquez, peut-être que je me trompe...

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  3. Ça me fait penser à cette citation : « Un homme digne de ce nom ne fuit jamais. Fuir, c'est bon pour les robinets. » (Bison Ravi)

    Toujours est-il que je dois être un robinet.

    Cela dit, pour t'initier à Laborit, je te recommande ceci et toutes les parties subséquentes. Ce ne sont que des extraits, au fait.

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  4. J'en prends bonne note, bonne note dans Evernote (mon deuxième cerveau ou plutôt mon disque dur externe). Merci du tuyau (j'ai vraiment une fixation sur la tuyauterie aujourd'hui).

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  5. Je n'ai toujours pas eu besoin des services d'Evernote, mais c'est vrai que ça pourrait s'avérer très utile éventuellement. Il faudrait que j'aie un forfait Internet sur mon cell, à nouveau. Au fait, I bet you'd like Métaphysique des tubes, de Nothomb !

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  6. Avec mon plus vieux des deux qui aura à peine trois ans en décembre, je suis en plein d'dans ;-) Je n'ai pas lu encore, mais une de mes bonnes amies les a tous dévoré, les livres de Nothomb. C'était pas loin de l’obsession compulsion son affaire (j'ai presque l'impression d'avoir lu ses livres tant elle m'en a parlé). Je me demande presque si elle n’en était pas amoureuse.

    J'avais feuilleté quelque pages de ce roman, me servant d'Amé comme oreiller (mon amie, pas l'auteur), et ça m'avait plu. Je pouvais rarement lire longtemps en sa présence. Elle occupait mes nuits à autre chose.

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  7. Je connais beaucoup de gens qui ont fait la même chose avec Nothomb, elle exerce un attrait sur les tendres esprits. Oui, beaucoup de gens tombent amoureux d'elle! Tu devrais voir les lettres que je lui ai écrites, quand j'ai brièvement correspondu avec elle. (Enfin, c'était plutôt humoristique, ce que je lui écrivais.)

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  8. Je dirais que j'ai dévoré de A à Z, bien ce que ce bouquin date, il est encore très actuel et je trouve que l'on retrouve la structure dominant-dominé au fil des âges, on comprend bien l'organisation des cellules qu'elle soit familiale, amoureuse, ou professionnel. On y échappe pas en fait, sauf par la drogue, la création ou le suicide. Moi je trouve cela fort juste. J'ai jamais rien qui m'a fait autant de bien je crois.

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  9. Bon résumé que tu fais là, selon ce que j'en connais ! C'est le comble du ravissement lorsque j'apprends que les artistes que j'apprécie ont en plus la fibre scientifique ! J'ai hâte, cela dit, de mieux digérer et comprendre les messages de Laborit.

    Mais j'le répète, ça s'apparente à un très bon résumé, ce que tu nous relates... Oui, oui, hm, hm. Je n'arrête plus d'observer mes comportements, depuis que j'ai assisté à cette conférence de l'Upop, pour m'assurer que je ne serais pas sournoisement, et en vain, en train de tenter de dominer autrui... Cela dit : dominer son environnement, voilà qui est mieux.

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  10. As-tu toi aussi une multitude de livres de chevet?

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  11. @Guillaume @Helenablue @La Rouge Les cerveaux en ébullitions ont toujours des chevets débordants.

    Eh bien, merci à tous à propos de ces éclaircissements édifiant sur ce fameux Laborit. Je me pencherai davantage sur son cas. Ceci dit, voici un autre grand fan de ce dernier est Jacques Languirand. Voici ce que j’ai trouvé qui pourrait vous intéresser.

    Henri Laborit, grand maître à penser de notre temps

    Henri Laborit, entrevue avec Jacques Languirand

    Have fun :-)

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  12. Wow! Nouveau (re) blogueur, je me promène d'un blogue à l'autre à la recherche d'inspiration et de lectures avec le café matinal; du samedi et du dimanche en tout cas.

    Bref! Éloge de la fuite. J'ai lu ce bouquin en 1988 je crois. C'est lourd! Sa vision de l'amour donne le goût de rester célibataire à vie!

    Modi

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  13. En 1988, je ne sais pas si j'aurais aimé lire ce livre : j'avais quatre ans, héhé. Ça m'aurait possiblement traumatisé durablement.

    C'est sûr qu'avec un homme de science, on en prend, on en laisse ; on en prend du côté scientifique, mais moins du côté des interprétations morales. Les rapports humains ne sont pas qu'un gros puzzle hormonal. En tous les cas, bienvenue ici, Modi !

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  14. Bon livre, quoi que biologisant un ptit brin. Pour une illustration de la pensée de Laborit et en complément à la lecture d'Éloge de la fuite je te recommande le film d'Alain Resnais: Mon oncle d'Amérique, qui porte justement sur les idées de Laborit. Laborit est aussi dans le film. Voir: http://www.imdb.com/title/tt0081176/

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  15. @Motditblogue: Totalement d'accord avec toi, Laborit véhicule une conception déprimante de l'amour. Juste pour ça il mérite qu'on le déloge de la table de chevet. Non mais quelle froideur!

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  16. Mon Oncle d'Amérique... oui, oui... J'en ai vu des extraits. Merci de rafraîchir l'idée dans ma tête. J'irai au club vidéo sous peu.

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  17. Eloge de la fuite... à découvrir pour moi. On m'en a parlé comme d'un "remède" il y a quelques semaines et en vous lisant tous, je crois bien que c'est vital.

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  18. @Michael Désolé, oublié de te répondre. Je garde un oeil sur ces liens!

    @Lorka : Un sacré livre sacré!

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  19. Mon Oncle d'Amérique, oui, un film à voir et revoir...
    Non, pas le sentiment que ça soit un tue-l'amour ce livre au contraire. l'ai depuis plus de vingt ans sur ma table de chevet et continue avec autant d'enthousiasme à désirer mon homme depuis tout ce même temps!!

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