mercredi 21 août 2013

Deux pour un

Virginie Fortin. La fille de Bernard Fortin. De la bombe. Un c... coeur joli. Une voix rauque. A mind that's peacefully twisted.



Adib Alkhalidey. Le frère de mon amie.


4 commentaires:

  1. Hey, j'avais besoin de rire. Je dis tout le temps que j'aime pas les humoristes, qu'ils sont pas drôle. J'adore avoir tort.

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  2. Heureux que tu aies pu lâcher la tension par le rire ! Y a beaucoup d'humoristes qui n'ont aucune classe, qui pataugent dans les lieux communs, mais ceux-ci, ce sont de vraies perles. Il y en a une poignée assez large, comme eux, au Québec !

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  3. Merci de me faire connaître ces gens-là. Never heard of the show, et les juges, ma foi, c'est pas vargeux comme autorité morale, mais bon, guère pire que les juges des Chefs ou ceux du Palais de Justice. Tu nous permets ici d'exercer notre propre jugement. Encore une fois, merci. Voici le mien.

    Cette fille, Virginie Fortin, c'est un coup de fouet rafraîchissant! J'ai été enthousiasmé mais prudent. On sait jamais ici sur qui aux États-Unis nos humoristes plagient, et j'étais pas confiant. Ce qui me désarmait, c'était sa stance. Calme, sûre, mesurée, rythmée. Une vraie stand-up états-unienne, mais en français. Jamais vu ça. Parce que ce n'est pas un talent naturel mais un art qui requiert des années de travail, et qu'on n'enseigne pas à l'École Nationale de l'Humour. En lisant son parcours, j'ai mieux compris. Un peu déçu qu'elle ait deux co-auteurs, mais nonobstant: elle m'a fait penser à Lisa Leblanc si Lisa Leblanc s'était passée de guitare et de mélodie pour nous réciter Ma Vie c'est de la Marde. Bref, j'ai adoré. J'espère juste ne pas la retrouver dans un commercial de l'Aubainerie dans deux ans.

    Adib, ben... Dans le racket du stand-up, celui de la musique aussi d'ailleurs, tu veux pas passer après quelqu'un qui a cassé la baraque, héhé. L'ordre de tes clips ne lui a pas rendu service.

    Je crois que j'aurais pu l'apprécier davantage si je l'avais vu en premier.

    Sacrés talents, en tout cas. Merci, une troisième fois.

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  4. Je regarde très peu de télé à présent, mais dans les deux, trois dernières années, s'il y a un show qui m'a fait ouvrir mon téléviseur, c'est bien celui-là. La quantité d'oiseaux étranges ou de bizarroïdes médiocres qu'on y retrouve nous happe et nous fascine !

    La fille de Bernard, en revanche, je l'ai vue pour la première fois dans un bar. Laisse-moi te dire qu'elle est d'autant plus électrisante en personne. Tous les humoristes étaient tièdes, en plus, cette soirée-là. Elle arrive comme une reine à l'aura noir. Et elle nous pogne tous par le collet en même temps, pour nous miauler tendrement ses blagues. Mémorable ! Maintenant que tu le dis, c'est vrai, je trouve qu'elle a quelque chose d'américain...

    Ici, les humoristes sont fades, ou splendidement hystériques. Différent du stand-up comic qu'on connaît tant, mais ç'a du succès. Adib tombe dans la seconde catégorie, il est l'un de ces types sinoques qui fait rire et réfléchir.

    Cette vidéo de lui n'est plus très fraîche, son style a évolué. Martin Matte l'a tellement aimé que c'est lui qui monte son premier one-man show.

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