vendredi 16 septembre 2016

Un poème de Claude Gauvreau

Des voix sans pore me disent que je mourrai enflammé dans la carbonisation
Ce n’est pas vrai
Je suis Dieu pour mes sourires secrets
Et en vérité je suis moi-même
Franc noble et plein de liberté
Draggammalamalatha birbouchel
Ostrumaplivi tigaudô umô transi Li

— Claude Gauvreau

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