mardi 16 mars 2021

Dany Laferrière: être d'exception

 


Éventuellement, j'aimerais exprimer mon opinion au sujet de l'œuvre de Laferrière, et au sujet du bonhomme lui-même (ici, nulle division à opérer; parfois, à contrecœur, il faut démêler les choses en ce qui a trait à un artiste sulfureux et une œuvre qu'on voudrait intacte; dans le cas présent, on parle d'un homme et d'une production qui ne font qu'un, qui sont du même pur matériau, de la même étoffe de destin). D'ici là, je dépose ici ces quelques mots.

Je suis en train de lire un quatrième roman de Dany Laferrière, tout juste cette année. Sans compter ceux lus avant, donc. Quand j'apprécie un auteur, c'est ce qui arrive. Je plonge dans son univers. Cela fait bien longtemps que je lis Laferrière. Mais je redoutais, en un sens, ce moment! Car une fois qu'on a (presque) tout lu d'un écrivain, il y a une sorte de deuil à faire. Heureusement, je n'en suis pas encore là... Seulement, je sais que j'ai nettement accéléré la cadence de lecture de ses œuvres.

Fait amusant: en marchant, c'est-à-dire en empruntant l'une des variantes de mon itinéraire favori, je suis tombé sur cette fresque. C'est étonnant que je ne l'aie pas remarquée auparavant.

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